Un jour en Indochine
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 article "Le roman-vrai"

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Darwin
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Darwin


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MessageSujet: article "Le roman-vrai"   article "Le roman-vrai" EmptyLun 12 Nov - 23:12

Comme je doute qu'il y ait beaucoup de réactions sur ce sujet, j'attends encore, mais voici l'ébauche de l'article....





« Le roman-vrai d’Indochine ». Le titre peut sembler présomptueux, vendeur, mais il attire notre curiosité. J’avais entendu dire de nombreuses choses de ce livre, mais si je l’ai acheté, c’est aussi par souci de développer mon esprit critique envers Indochine. Je n’aime pas les fans (de musique ou autres) qui boivent les paroles et les actes de leur idole, excusant et idolâtrant tous leurs faits et gestes ! Je pense que cette idée est partagée, il n’y a qu’à voir le débat de ce numéro !



C’était donc la parfaite occasion de découvrir une face cachée du groupe, de mieux comprendre et de cerner encore mieux l’aventure indochinoise, vu cette fois sous un autre angle. Je ne me suis donc pas du tout placée dans la position de : « De toute façon tout ce qu’il dira sera faux»… Non, j’ai essayé de comprendre, de me placer de son point de vue et de quitter le mien, celui de la fan inconditionnelle…

D’une façon générale, cet ouvrage est moins une critique absolue envers Nicola que je n’aurais pu le croire. Certes ce dernier est passablement critiqué, se voit affublé de divers adjectifs peu glorieux, mais l’auteur ne « crache » pas sur le groupe. Les critiques portent essentiellement sur les paroles, l’attitude de Nicola (« opportuniste, manipulateur, calculateur, doté d’un ego surdimensionné » etc..) et le comportement des maisons de disques. Cette lecture m’a permis de mieux saisir certains aspects du groupe, et je ne regrette pas du tout mon achat. Je pense que ce livre fait partie des ouvrages à lire si on veut s’insérer toujours mieux dans la dynamique du groupe, et comprendre certains faits.



Cependant, il y a certains points qui m’ont personnellement dérangée. Le premier est que le livre est rempli de critiques, cachées, masquées. Notamment au sujet des études qu’a suivies Nicola ou d’autres sujets parfois personnels : « de lycées en boîtes à bachot et même cours par correspondance, « l’intellectuel » passe son bac quatre fois et le rate. Ensuite, il bricolera un peu (un an de droit) avant que la bonne fée Rock and Roll ne le sauve en lui offrant un but dans la vie. Stéphane, dont les études ne furent guère plus poussées (euphémisme)… ». Pourquoi ne pas ouvrir une critique, mais de manière ouverte ? Au lieu de se cacher derrière des figures de style, de l’humour très douteux, oser dire les choses. Voici ce que je reproche à l’auteur : il a de nombreuses critiques à formuler (je n’émets aucun jugement quant à leur véracité) mais se cache obstinément derrière des remarques, courtes et brèves, planquées au milieu d’un texte qui les noie. Ou alors, carrément se dire que de telles remarques n’ont rien à faire sur l’analyse d’un groupe de musique, et que la vie privée de ses membres est une affaire privée. Aurait-il peur de ses affirmations ? Ce n’est pourtant pas ce qu’il déclare en ouverture du roman ! Un autre détail qui m’a marquée et le genre de phrases : « Mais le jeune auteur bénéficie de l’indulgence du jury » ou encore « on pardonnera à Nicola » « on lui excuse… »…


Très fréquemment, il relève l’idée du « face contre tous » que Nicola exprime dans certains de ses textes, et va tourner cette caractéristique comme un défaut de Nicola.… Il dénonce le fait que Nicola veuille prendre sa revanche sur ce monde pourri, se sentant seul au monde et devant affronter ce monde de « pervers ». Il arrive tout de même à taxer la « philosophie » de Nicola dans 3ème sexe de paranoïaque ! Page 69, par rapport à 3ème sexe : « Thème récurrent dans l’univers d’Indochine : il y a nous les jeunes qui vivons en toute innocence nos fantasmes, notre liberté (…) et les autres, le reste du monde, des vieux cochons agressifs qui nous regardent et essayent de nous brimer. L’enfer, c’est les autres, n’est ce pas : une structure mentale de type paranoïaque ». N’est-ce pas une exagération totale que de taxer cette idée de parano ? Voici un autre problème de cet ouvrage : s’intéresser à quelques thèmes, quelques conceptions dans la vie du groupe, les sortir du contexte, les développer sur plusieurs pages, les faire revenir de manière incessante et en faire une manie dangereuse du groupe ! Je ne nie absolument pas que cette idée du « seul contre le monde » n’est pas présente, bien au contraire, et elle a séduit de nombreuses personnes. De plus, je pense qu’il se trompe en imaginant que les thèmes et émotions que Nicola dégage de ses textes soient forcément les siennes. On peut mettre des mots sur des thèmes ou des situations qui nous restent éloignées. Nicola est doté d’une capacité impressionnante à s’immiscer dans les projections adolescentes, mais est-il pour autant un adolescent ?





Nous voilà maintenant au début de l’aventure Indochine, l’Aventurier sort. Durant deux pages, l’auteur commet à mon sens une énorme erreur : il prend le texte au premier degré, et donc comme l’apologie des héros et de Bob Morane. Pourtant, j’ai souvent entendu Nicola affirmer qu’il s’agissait bien d’ironie ! Et voici que ce cher J-C Perrier nous dit : « Dans le troisième couplet, Nicola extrapole nettement la dimension de son héros et ses ambitions : jamais le commandant Morane n’a eu l’ambition d’être « le roi de la terre » (…) Le refrain « Le vrai héros de tous les temps » (l’expression n’est pas claire : il faudrait dire le plus grand héros mais à ce moment là, les pieds devaient être comptés). D’autres couplets comportent des expressions malhabiles, à la limite de l’incorrection » Voilà ce que je ne comprends pas, il se laisse aller à une analyse littérale de ce texte qui est truffé d’ironie et de second degré. A mon sens, il passe à côté de la chanson, et perd déjà en crédibilité, alors que nous sommes au début du livre. Cette tendance à une interprétation qui sort du cadre se reproduira, notamment avec une analyse métrique du Pavillon Rouge ou une interprétation longue de six pages sur les 7 Jours de Pékin qui n’est pas un titre-phare, ou encore des corrections de syntaxe ou de grammaire. Indo n’a jamais prétendu écrire de la prose, et je ne vois donc pas l’intérêt de telles analyses. L’auteur se pose plusieurs fois des questions qui semblent inutiles ou futiles, sur des détails, au lieu d’aller à l’essentiel. J’ai eu l’impression qu’il est allé gratter dans l’histoire du groupe, afin de dénicher des points pas toujours clairs, alors qu’ils n’ont aucune influence. Par exemple, au sujet de la tournée après le Péril Jaune : « Le groupe s’apprête à partir en tournée, nommée les dix jours de Pékin (on ne sait pas pourquoi on est passé de 7 à 10). De plus, ce genre de remarque est en parenthèse, comme si c’était une attaque personnelle, ou une revendication quelconque que l’auteur glisse sans entrer la justifier.


Malgré ces petites critiques, il y a des bonnes explications. La période post-Pérou est bien décrite, le départ de Dimitri également. Certaines anecdotes, surtout sur les maisons de disques et leur manière de profiter (avec le merchandising) sont assez offusquantes !
J’ai aimé aussi le fait qu’il ait joué un rôle important dans l’élaboration de « Les mauvaises nouvelles » car il travaillait aux éditions Lattès. Le sujet est longuement couvert, plus de dix pages, et on en apprend beaucoup !



Une phrase m’a fait penser à un article où Nicola déclarait être conscient d’avoir choisi ce métier pour être aimé. Voici ce qui est dit dans le livre : « Il y a chez Nicola un formidable désir de revanche : on m’a fait mal, on m’a méprisé quand j’étais gosse, je me vengerai (…) Nicola a la rancune tenace. Et son besoin viscéral de reconnaissance est l’un des ressorts moteurs de sa création, de la colossale énergie investie dans son groupe ». Je pense que l’auteur a totalement raison, et il l’exprime très bien.



J’ai énormément apprécié les pages où l’auteur décrit les débuts d’une nouvelle ère dans le groupe, illustrée par la pochette des « Versions Longues » ou d’ « Unita », cette jeune fille aux cheveux courts, Gwen.



Ces questions me trottant dans la tête, j’ai eu envie de contacter l’auteur afin de lui poser quelques questions… Il m’a gentiment accepté, voici ses réponses :


Avez-vous eu des échos de fans d’Indochine ou du groupe lui-même suite à la publication du livre ? Si oui, que reportaient-ils ? Lisez-vous ce que les communautés des fans disent de votre ouvrage sur les forums ou autres ?
Du groupe lui-même, aucun. Je n’ai plus aucun contact depuis longtemps avec Nicola Sirkis. Quant aux fans, j’ai été interviewé, lors de la sortie du livre, sur plusieurs sites, extrêmement positifs pour la plupart. Depuis, je ne sais plus ce qu’il s’y raconte…

Dans votre livre, vous vous intéressez en grande partie à la vie privée, en parlant plus de Nicola Sirchis, l’homme de tous les jours, et parfois peu de Nicola Sirkis, l’artiste. Etait-ce une volonté de votre part ? Est-ce ainsi que l’on peut comprendre et décrypter le succès du groupe selon vous ?
Je ne suis pas du tout d’accord avec cette interprétation. Je ne parle de la « vie privée » de Nicola Sirkis que quand celle-ci a une incidence sur le groupe, sa carrière et sa création. Ce qui est, dans le cas d’Indochine, indissolublement lié, en raison même de sa composition de base : deux frères jumeaux aux commandes.

Votre livre retrace l’histoire du groupe de jusqu’à l’époque de Paradize. Votre vision d’Indochine a-t-elle évolué avec l’arrivée et le succès d’Alice and June ? Ajouteriez-vous d’autres éléments à votre analyse ?
Pas vraiment. Alice and June n’est que le prolongement de Paradize, en plus autiste. Nicola Sirkis est toujours dans sa phase « brit-pop » et travaille avec le même binôme. Jusqu’à quand ?

J’ai pu remarquer une différence d’approche des textes entre celle dont vous témoignez dans votre ouvrage et celle des fans. En effet, vous interprétez au premier degré les paroles (L’aventurier), faites une analyse métrique (Pavillon Rouge), énumérez les fautes de syntaxe, relevez ce que vous ne comprenez pas… Tandis que les fans cherchent la métaphore, l’émotion, la sensibilité, le rêve, les images, les symboles, les références, la proximité. Est-ce qu’un texte peut être réduit à des éléments aussi objectifs que ceux de votre analyse, la musique n’est-elle pas censée nous faire rêver en nous montrant, et en osant, quelque chose de différent ?
Un biographe n’a pas à rêver. Il décrypte, analyse, explique. Laissant au lecteur toute sa latitude et sa liberté de jugement.

Votre ouvrage est l’un des seuls à adopter un regard si critique envers le groupe, et surtout la personnalité de Nicola Sirkis. Il peut casser une image illusoire qu’entretenaient certains fans. Que pensez-vous de cette mode de l’idolâtrie poussée à l’extrême ?
Les rapports entre un artiste et ses fans sont toujours ambigus. On ne sait lequel a le plus besoin de l’autre. Il ne s’agissait pas du tout pour moi de « casser » quoi que ce soit, mais simplement de raconter, pour la première fois, une histoire dans son exactitude, alors qu’elle avait jusque-là été occultée ou réécrite par Nicola Sirkis.


Vous dites, au sujet de la chanson « Des fleurs pour Salinger » et particulièrement du dernier couplet « cette histoire de sourde-muette est loufoque. Serait-ce le fragment d’une autre chanson qui aurait atterri là par erreur suite à un mélange de bouts de papier ? ». Or, cette chanson faisant ouvertement référence à l’écrivain J-D Salinger, dans son livre « L’attrape-cœurs », ce dernier écrit : « Je me disais que le mieux serait de me faire passer pour un sourd-muet. Je rencontrerais cette fille merveilleuse qui serait sourde-muette (..) Je construirai ma maison près des bois, mais pas dans les bois ». Cette phrase explique les paroles, qui prennent tout leur sens! C’est selon moi un exemple typique de l’attitude à employer avec les paroles d’Indochine : fournir un travail pour les comprendre, découvrir les références, prendre du recul, faire un effort, et tout devient clair. Ne pensez-vous pas qu’en adoptant cette attitude, leurs paroles prennent une autre ampleur ?
Je sais bien que tout ça vient de « L’attrape-cœurs », et que Nicola possède une certaine culture littéraire. N’empêche que le résultat paraît franchement alambiqué, comme résultant d’un collage (procédé auquel Nicola a eu de multiples fois recours par ailleurs).

Vous avez rédigé un ouvrage très précis et complet sur ce groupe. Si vous avez travaillé sur leur histoire, c’est qu’elle doit vous intéresser, vous interpeller d’une manière ou d’une autre, non ?
Parce qu’il y a très peu d’autres groupes français (voire pas) encore en vie, avec une histoire aussi longue, chaotique, passionnelle, et qui génère du mythe.

Comment, au final, devons-nous interpréter votre livre ? Comme une critique sévère du comportement de Nicola Sirkis, comme une biographie sachant rester objective, comme une vision personnelle de leurs parcours ?
Comme vous voulez. Pour moi, c’est un récit objectif, une biographie aussi complète que possible avec plein de documents (et encore, je n’ai pas tout utilisé) et de témoignages inédits. La célébration d’une trajectoire, d’une obstination à réussir et à triompher de tous les obstacles. Rien de plus. Mais il est des artistes qui ont du mal à accepter qu’on les mette face à leur vérité. Ils préfèrent refaire l’histoire. C’est leur droit. Mais je pense que le public et donc les fans ont droit, eux, à plus de respect que cela, et qu’admiration ne doit pas signifier aveuglement.


Il sort de cette interview un avis bien tranché, des idées fixes mais un regard objectif. Je ne partage pas personnellement toutes les idées de J-C Perrier ni sa vision des choses, et de la musique en général, mais je respecte son travail. J’ai retrouvé dans ses réponses, son style et sa position si claire présentée dans son ouvrage. S'il se dit biographe et comme il l'énonce "décrypter et analyser", je ne comprends pas comment il a pu glisser autant de remarques subjectives dans son ouvrage.


Ayant parcouru des discussions sur des forums concernant cet ouvrage, j’y ai lu en majorité des commentaires négatifs. Les fans déploraient de nombreuses erreurs (dates de naissance, dates de concert, différents événements, discographie, sources, détournement de citations etc..) ainsi qu’une trop grande insertion dans la vie privée de Nicola ou d’autres membres.


Conclusion ? Il m’est bien difficile de donner un avis général sur cet ouvrage. C’est à chacun de prendre le temps de le lire s’il en a l’envie, et se faire sa propre opinion. Quoi qu’il en soit, l’ouvrage ouvre les yeux sur d’autres réalités, à propos du groupe, mais également au sujet du journalisme.

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MessageSujet: Re: article "Le roman-vrai"   article "Le roman-vrai" EmptyLun 12 Nov - 23:42

Super boulot darwin ! Wink
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MessageSujet: Re: article "Le roman-vrai"   article "Le roman-vrai" EmptyMar 13 Nov - 20:47

Ouais, super boulot!
Bravo!
Par contre je me suis permis de corriger une faute qui m'avait sauté aux yeux dans le paragraphe 5: "étan" => "étant"
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MessageSujet: Re: article "Le roman-vrai"   article "Le roman-vrai" EmptyMar 13 Nov - 20:51

Tu as tout à fait raison de le faire! Je n'en pouvais plus et je n'ai pas tout relu, il faudra bien le corriger! Laughing
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MessageSujet: Re: article "Le roman-vrai"   article "Le roman-vrai" EmptyMar 13 Nov - 21:31

Je suis agréablement surprise par ses rèponses à tes questions =)

Ca va faire un super article ça Very Happy
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MessageSujet: Re: article "Le roman-vrai"   article "Le roman-vrai" EmptyMar 13 Nov - 21:37

J'ai changé une chose que je ne supportais pas dans ses répones. Au lieu de dire Nicola Sirkis, il disait toujours "Sirkis", par exemple: "C'est ainsi que Sirkis a toujours travaillé" etc.. perso ca ne me dérange, je trouve cela hautain et méprisant, et j'ai donc rajouté Nicola devant... tongue
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MessageSujet: Re: article "Le roman-vrai"   article "Le roman-vrai" EmptyMar 13 Nov - 21:46

Darwin a écrit:
J'ai changé une chose que je ne supportais pas dans ses répones. Au lieu de dire Nicola Sirkis, il disait toujours "Sirkis", par exemple: "C'est ainsi que Sirkis a toujours travaillé" etc.. perso ca ne me dérange, je trouve cela hautain et méprisant, et j'ai donc rajouté Nicola devant... tongue

Cette façon de nommer nicola ne concerne que mr perrier et si on publie son interview,je préfère que ces réponses soient conservées en l'état!
Si on commence à changer ne serait-ce que cette petite chose et bien moi ça me dérange car rien que cette façon de nommer nicola donne un aspect du fond de la pensée de J-C perrier Exclamation
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MessageSujet: Re: article "Le roman-vrai"   article "Le roman-vrai" EmptyMar 13 Nov - 21:59

Tu as raison.. j'ai hésité à le laisser tel quel et faire un commentaire après, c'est ce que je vais faire je crois!
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MessageSujet: Re: article "Le roman-vrai"   article "Le roman-vrai" EmptyMar 13 Nov - 22:01

Tout à fait d'accord avec Indoforever!
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MessageSujet: Re: article "Le roman-vrai"   article "Le roman-vrai" Empty

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