(n6) edito

Nous nous attendions à des réactions après la publication de l’interview de Jean-Pierre Perrier dans le numéro quatre mais, étonnamment, ce n’est pas après cet article que nous avons assisté à des commentaires en masse. Non, c’est le dernier numéro qui a suscité un intérêt plus vif, à travers un forum, et qui a donné naissance à de nombreux messages, pas tous positifs.

Si j’ai choisi de faire de cette situation le sujet de mon éditorial, c’est bien parce que je la considère comme importante, voire même capitale. Jusqu’ici, les numéros sortaient, et nous n’avions que très peu de retour, comparé au nombre de lecteurs et abonnés ; ce qui nous a parfois légèrement déçus. Mais cette fois, nous avons pu mieux cerner vos réactions, et ainsi vos envies. Ces messages n’ont, et de loin pas, tous été favorables à notre projet. En effet, certains critiquaient le manque de professionnalisme dont nous faisions preuve, de véracité dans certains faits du passé, d’informations pertinentes… Malheureusement, ces critiques n’ont pas toujours été bien formulées, et il nous était difficile d’y répondre. Une critique gratuite, courte et sans argumentation, voire même mensongère, n’est pas utile. Mais ce n’est pas sur cet aspect que je voudrais m’arrêter. Non, car c’est à la vue d’autres messages, pourtant eux aussi péjoratifs, que j’ai souri, mais des messages comportant une critique que l’on peut qualifier de constructive : bien construite, argumentée, illustré par des exemples, fondée, structurée. Je ne vous cacherai pas les auteurs, les messages étant même publiés à la fin de ce numéro, dans le courrier des lecteurs.

Il peut sembler bizarre que nous décidions de publier ces réactions, et que nous insistions en traitant même du sujet en première page dans notre éditorial, mais c’est pour une raison simple : cette critique est, pour moi, le plus beau signe d’attention que l’on pouvait nous porter. Ce message est la preuve que nous sommes lus et écoutés, même attentivement, et que des gens portent de l’intérêt à notre projet. En plus de cela, cette réaction va nous permettre de mieux nous adapter aux ressentis de nos lecteurs, d’adapter quelques détails de notre rédaction afin de mieux vous correspondre et vous satisfaire. Nous n’allons pas chambouler tout notre système, car notre but avoué est de présenter au grand jour la vision de chacun et non d’une seule personne, mais je pense que les auteurs de ces messages ont mis le doigt sur certains points importants pour tous.

Nous acceptons donc la critique, et nous lui ouvrons même nos bras, pour autant que celle-ci soit constructive, et cet adjectif porte bien son nom : que nous puissions continuer à améliorer la construction existante, et construire l’avenir de notre projet.

C’est pour cela que nous avons décidé de retranscrire des messages ayant été publiés, sur l’Indoforum, à la suite de la publication du dernier numéro. Nous espérons que vous le percevrez comme une preuve de notre ouverture à toutes les idées, les conceptions, et les différences…et les critiques !

Messages : 89 Date d'inscription : 05/09/2007 Age : 43 Localisation : Cluses

Nous nous attendions à des réactions après la publication de l’interview de Jean-Pierre Perrier dans le numéro quatre mais, étonnamment, ce n’est pas après cet article que nous avons assisté à des commentaires en masse. Non, c’est le dernier numéro qui a suscité un intérêt plus vif, à travers un forum, et qui a donné naissance à de nombreux messages, pas tous positifs.

Si j’ai choisi de faire de cette situation le sujet de mon éditorial, c’est bien parce que je la considère comme importante, voire même capitale. Jusqu’ici, les numéros sortaient, et nous n’avions que très peu de retours par rapport au nombre de lecteurs et abonnés ; ce qui nous a parfois légèrement déçus. Mais cette fois, nous avons pu mieux cerner vos réactions, et ainsi vos envies. Ces messages n’ont, et de loin, pas tous été favorables à notre projet. En effet, certains critiquaient le manque de professionnalisme dont nous faisions preuve, de véracité dans certains faits du passé, d’informations pertinentes… Malheureusement, ces critiques n’ont pas toujours été bien formulées, et il nous était difficile d’y répondre. Une critique gratuite, courte et sans argumentation, voire mensongère, n’est pas utile. Mais ce n’est pas sur cet aspect que je voudrais m’arrêter. Non, car c’est à la vue d’autres messages, pourtant eux aussi péjoratifs, que j’ai souri, mais des messages comportant une critique que l’on peut qualifier de constructive : bien construite, argumentée, illustrée par des exemples, fondée, structurée. Je ne vous cacherai pas les auteurs, les messages étant même publiés à la fin de ce numéro, dans le courrier des lecteurs.

Il peut sembler bizarre que nous décidions de publier ces réactions, et que nous insistions en traitant même du sujet en première page dans notre éditorial, mais c’est pour une raison simple : cette critique est, pour moi, le plus beau signe d’attention que l’on pouvait nous porter. Ce message est la preuve que nous sommes lus et écoutés, même attentivement, et que des gens portent de l’intérêt à notre projet. En plus de cela, cette réaction va nous permettre de mieux nous adapter aux ressentis de nos lecteurs, d’adapter quelques détails de notre rédaction afin de mieux vous correspondre et vous satisfaire. Nous n’allons pas chambouler tout notre système, car notre but avoué est de présenter au grand jour la vision de chacun et non d’une seule personne, mais je pense que les auteurs de ces messages ont mis le doigt sur certains points importants pour tous.

Nous acceptons donc la critique, et nous lui ouvrons même nos bras, pour autant que celle-ci soit constructive, et cet adjectif porte bien son nom : que nous puissions continuer à améliorer la construction existante, et construire l’avenir de notre projet.

C’est pour cela que nous avons décidé de retranscrire des messages ayant été publiés, sur l’Indoforum, à la suite de la publication du dernier numéro. Nous espérons que vous le percevrez comme une preuve de notre ouverture à toutes les idées, les conceptions et les différences… et les critiques !

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