| | (N°4) Un jour,une chanson | |
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+4Passion pour Indo indolexou InDoAleX indoforever 8 participants | Auteur | Message |
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indoforever
Messages : 548 Date d'inscription : 28/07/2007 Age : 47
| Sujet: (N°4) Un jour,une chanson Dim 28 Oct - 16:10 | |
| Une chanson qui vous touche, vous émeut, vous transporte, vous parle... Venez nous proposer un texte d'Indochine auquel vous tenez. Expliquez-nous comment vous vivez et sentez cette chanson, ce qu'elle vous inspire, vous évoque etc... On attend vos propositions !!! | |
| | | indoforever
Messages : 548 Date d'inscription : 28/07/2007 Age : 47
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Dim 28 Oct - 16:13 | |
| post déplacé de puppetle : LA COLLINE DES ROSES
1 la fin du jour dans cette ville
2 est étrange
3 des passants passent en silence
4 dans les brumes de décembre
« La fin du jour dans cette ville » attise la mémoire de cette expérience commune de la nuit tombante, et introduit immédiatement le supposé indochinois : la tristesse atisée au cours de la vie normée. Puis, ramassé en deux mots, le thème de l’étrangeté, assimilable conceptuellement à une sorte de nausée sartrienne. L’ « étrange » qui souvent se révèle être un paravent "gras" abstrait pseudo-poétique du psychisme « sec ». Voilà bien là le « secret » d’Indochine : utiliser la poésie et sa fonction sublimatoire, pour parler en réalité des simples plaies de nos âmes. Les lignes 3 et 4 accentuent et illustrent cette vague (de) tristesse.
5 un vent glacial souffle et domine
6 impérial
7 on dirait qu’il y a des anges
8 sur la colline des roses
5 et 6 : Tout le poids de cette angoisse personnifié dans les rues d’une ville, circulant maintenant, au travers du vent de saison froide, en tant que préalable établi. Le poids de « ça » -la « mélancolie »- supplante l’individu, ceci induisant du reste un principe rigoureux de la psychanalyse : l’acceptation préalable d’un état de souffrance, permettant par la suite la résilience (heureux sois-tu, Nicola). D’où l’on peut étayer la fonction thérapeutique du fanatisme indochinois : on dit tout, on parle des idées noires sans tabou. Puisque la seule façon de les combattre est de les admettre pour mieux les connaître. On pourrait presque parler d’Indochine comme d’un « défouloir esthétique »*. Puis, de 7 à 8, vient la vraie-fausse piste classique de l’indo-idéal: un paradis cotonneux et enfantin. Une sorte de terre promise que chacun sait frôlable mais sans espoir réel de devenir. A moins que jouir maintenant ? -Ou au moins se « poser », s’accepter et jouir de vie.
* Combien de « T.S. » a évité Indo ?..
9 mais les nuits sont trop violentes
10 elles arrivent comme une erreur attirante
11 une erreur aveuglante
Ici le système Indochine, dans sa vision générique conceptuelle-formulatrice, est clairement illustré. Les premières expériences charnelles, voire également celles qui leur succèderont, « sont trop violentes », et reposent sur « un erreur » irrépressible : le sexe, l’aperçu sensoriel du partenaire rendu idée amoureuse, la juxtaposition « aveuglante » des corps… Vive la chair, …vive !
Refrain :
12 il y a des petites fées
13 au creux de ma main
14 et qui prennent le thé
15 dans un jardin
16 il y a des petites fées
17 au creux de ma main
18 et qui prennent le thé
19 au fond de mon jardin
Toute l’astuce –délicieuse- repose dans les lignes 15 et 19. L’univers « pur » des fées passe d’une main à, quelque soit la formulation exacte, un jardin. L’innocence d’une conversation autour d’un thé débouche sur une double formulation psychanalytique. Le « jardin » étant aisément assimilable à une pilosité bien humaine, nous passons, par les doigts de « ma main », de poils de pubis ("un jardin") à ceux du narrateur masculin (« mon jardin »)*. A noter que ce genre de démonstration de « crudité réelle » de l’acte sexuel -ou de « vrai » désenchanté concret, et par voie de conséquence aussi vécu dans la douleur- est toujours accompagnée de douceur et d’un pacifisme tendre envers l’auditoire. Et avec une « bouille » angélique et mignonne telle que celle de Nicola, le message va d’autant mieux droit au cœur… De même que dans la vie « noirceur biologique reproductive » se marie avec tendresse ?
* On effleure ici l’un des procédés poétiques-théoriques de Sirchis, l’intersexualisation. Autant le clitoris est un pénis minuscule et fringuant pour la fille, autant la zone sexuelle masculine peut symétriquement se traduire en faille, en fissure organique tout comme un vagin -en tant que vision poétique, voire au propre dans la transexualité ou symboliquement dans la sexualité masculine complexe-, des plus féminines, pour le garçon. Ce dont témoigne ainsi dans l’extrait ci-dessus le « au fond de mon jardin » -un "creux" revendiqué et blasphématoire au regard de l’ordre hétérosexuel établi.
20 je n’ai que mes yeux
21 pour les regarder
22 que deux mains pour les toucher
23 mais qu’une bouche pour les embrasser
Est clairement dévoilée une atmosphère de fantasme sexuel de 20 à 23. Mais Nicolas Sirchis en profite pour pondre au passage une autre astuce –doux coquin- : le « mais » de la ligne 23. Ses attributs érotiques-sensoriels, les yeux, les mains, puis la bouche, sont posés systématiquement comme négativement déterminés (« que » 2 fois, et « qu’ »), gravés de par leur ADN dans le marbre, et de ce fait ontologiquement inassouvis au sein du présent « délire poétique dépressif »*.
Le simple ajout de ce « mais » remet tout en cause, ou du moins se met en situation d’exister, et ainsi de suite la souffrance supposée se prend à fleurter avec son déterminisme, et y dresser la table pour y mettre le couvert –le baiser. La concrétude génétique –organes de perception et de réception insurmontables- reprend ses droits comme habitacle inévitable du plaisir. Que. Que moi, que toi et notre odieuse factualité. Et parfois donc nos baisers immaculés et désarmants de simple amour…
* Une relation charnelle et spirituelle à l’autre, qui tant s’étouffe souvent d’incommunicabilité, tant produit des instants –voire de véritables périodes- de compréhension et de plaisir communs.
24 mais qui pense que ça les dérange
25 que des anges en toute innocence
26 …marchent sur des roses qui éclosent
Passé le procédé poétique (ligne 24) habituel chez Indochine, mais si crucial dans sa « paranoïa » sociale (la France « de droite » perverse)*, on débouche sur un mystère métaphorique intrinsèquement propre à l’auteur, puisque pré-codifié de par son poste d’amont créateur. -A ceci près qu’il y épouse une figure familière rhétorique de base chez Indochine : la description d’un monde intérieur imaginaire-systématique-type, hyper-sublimé ; une sorte de paradis fait de rêves, réparateur, doux et idéalisé, dans lequel le fan peut se reposer, se réconforter, parfois en toute tranquillité et quiétude. -Une idéalité comme la plus douce des compensations « roses » du fanatisme « noir », un pilier s’il en faut des principales -et ici vitale- thématiques d’Indochine… Car un fan a besoin aussi de câlins, et par conséquent (de même que comme « essence de survie » dans le moteur du militantisme ultra indochinois) d’un « cimetière secret des éléphants » préservé de l’extérieur, une bulle-à-soi idéelle préservée de tout, cimetière-intégrité personnel des douleurs, et de la joie alors possible et induite qui contre-attaque aussi des fois, heureusement…
* On reviendra ailleurs sur ce qui permet de dire qu’Indochine est un groupe « de gauche ».
(refrain)
35 je déteste les mois de décembre
36 elle hais tous ces dimanches
Deux phrases-refrain sans nul doute emblématiques dans l’esprit de tout fan, deux phrases qui se mouillent, du fait de leurs verbes respectifs -« détester » et « haïr »-, et présupposent, non deux vers bouche-trous verbeux, mais une information imparablement cruciale. C’est du reste peut-être là un des « morceaux de bravoure » principaux de Nicolas Sirchis dans son oeuvre, à savoir s’enfermer avec autant de responsabilité conceptuelle par-rapport à l’idée « artistiquement noble et définitive » de son groupe, tant en termes de poétique que de structure fanatisante –ce en onze mots.
Ce que je tente de décrire n’est pas simple, et j’aurais bien du mal à en dire tout ce que je pourrais idéalement en penser, sauf si j’étais plus intelligent ou moins flemmard, ou incompétent, ou (complétez si nécessaire). En tout cas, d’un point de vue primordialement objectif, on peut déjà considérer une double signification, l’une « ironique » et l’autre « tragique » (les guillemets pour souligner qu’il ne s’agit que de sobriquets attribués à des figures de style). D’abord le tragique : les « décembres » et les « dimanches », en leur qualité commune de fin d’un cycle, se posent en achèvement, en deuil. La fin d’un cycle de vie, la mort. Ensuite l’ironie: la fin d’un cycle suppose en fait -à moins de mourir- le commencement d’un suivant, et une suite absurde de manières d’être-là, encore et encore, jusqu’à la mort (ce qui est hélas inévitable et accessoirement fondamental).
D’autre part la subjectivité de mon interprétation, ou au moins d’une « intuition » toute personnelle. Par exemple j’ose émettre l’hypothèse que ces phrases renvoient à l’enfance, ne serait-ce que par l’évocation du mois de décembre, le froid, mais ainsi aussi Noël et le nouvel an, ressentis si intensément par un enfant occidentalisé -qui par ailleurs dessine, et imagine-pense (panse) mieux que les adultes (dixit Picasso : « j’ai mis vingt ans à apprendre à peindre comme eux », parlant d’une classe de primaire)… Enfin l’hiver renvoie à ce sentiment vague, relayé par la température qui chute, et le cycle annuel (comme notre vieillissement défini par l’âge annualisé) du 31 décembre, structurant symboliquement par curseurs l'existence défilante-tombante. Un dimanche soir vers Noël, seul dans la tête à défigurer les murs vides de la rue, ainsi que sa propre intériorité, loin d’être sereine ; seul dans sa tête à défigurer les murs vides de sa rue malgré la propagande socialisante. Vide. À n’avoir un sens que par soi-même alors qu’il fait si froid dehors. Viennent alors les images de ces innombrables couchers de soleils des « dimanches »-soirs vécus enfant, la fin des jeux et le signe d’un sommeil programmé avant de repartir au turbin scolaire, « au hasard » de CM2, le lundi à 8H30. La fin même peut-être d’un sentiment d’amitié et de découvertes entre gosses, mis en pratique seulement les week-ends et des récrés qu’on veut bien laisser comme place vierge à leur imaginaire, humaniste quand ce n’est pas déjà bouleversé et amoureux.
Je disais au début que c’était pas simple à expliquer, et biens là vous êtes servis : pas de conclusion (si j’étais Proust ça se saurait).
37 mais les nuits sont trop violentes
38 elles arrivent comme des erreurs
(refrain)
47 je déteste les mois de décembre
48 elle hait tous ses dimanches
49 mais les nuits sont trop violentes
50 une nuit sur la colline des roses…
La ligne 50 vient bercer d’une douceur réparatrice l’auditoire –une colline florale féconde parcourue plus tôt dans le texte-, féerique et rassurante, face à la « violence » (l. 49) ; comme si nos rêves berçaient au final notre réel de par une bonté pure –peut-être la bonté que l’on doit à nous-mêmes. Les trois points de suspension nous laissent rêver… | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Jeu 1 Nov - 21:36 | |
| La chanson "Coma Coma Coma" de l'album "Wax" me touche beaucoup. L'idée de coma, pour moi je l'interprète comme un cauchemar éveillé comme si la vie n'était qu'un coma... Je pourrai détailler mais ça serait long. Cette chanson me touche énormément. Une de mes préférées. |
| | | InDoAleX
Messages : 745 Date d'inscription : 06/08/2007 Age : 37 Localisation : Dans le paradize de Sir Sirkis ! (Anglet-P.A)
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Jeu 1 Nov - 23:55 | |
| Détaille si tu veux. Ca n'est pas grave si c'est long. "Plus c'est long, plus c'est bon" ^^ C'est comme l'issue de l'attente des concerts d'indo mdr ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Ven 2 Nov - 14:56 | |
| En fait l'idée que j'en ai c'est celle d'un mec plongé dans le coma et dont la seule issue pour lui serait son amour pour une fille. Mais j'ai une autre image un peu plus persionnalisée. Ce mec est dans le coma (le coma représentant la vie) et la personne qu'il aime est loin de ce monde-là, de cet univers et en échappant à ce coma (la vie, donc) il pourra retrouver celle qu'il aime et qui appartient à cet autre monde. "Je voudrais tant que tu me libères", cette idée que le mec est vraiment prisonnier de ce monde et qu'il demande à cette fille de l'en sortir. J'en ai une vision un peu spéciale maos bon! Je sais pas si j'ai été claire! |
| | | alex Invité
| Sujet: She night Lun 5 Nov - 1:02 | |
| Bonsoir je suis la ptit nouvelle, She night me touche car deja d'une part, c'est l'histoire de stéphane, sa mort . Quand je revoie la video ou nicola pleure, ca me touche forcement. De plus le texte me parle, des phrases comme toi console moi garde moi encore une nuit si tu as envie... trop de souvenirs un dcès d'un proche en particulier Voila |
| | | InDoAleX
Messages : 745 Date d'inscription : 06/08/2007 Age : 37 Localisation : Dans le paradize de Sir Sirkis ! (Anglet-P.A)
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Mar 6 Nov - 23:18 | |
| - alex a écrit:
- Bonsoir je suis la ptit nouvelle,
She night me touche car deja d'une part, c'est l'histoire de stéphane, sa mort . Quand je revoie la video ou nicola pleure, ca me touche forcement. De plus le texte me parle, des phrases comme toi console moi garde moi encore une nuit si tu as envie... trop de souvenirs un dcès d'un proche en particulier Voila C'est pas vraiment l'histoire de la mort de Steph à proprement parler, puisqu'elle a été écrite avant sa mort, mais c'est vrai qu'elle prend tout son sens en ce sens justement, car en plus c'est un de ses derniers morceaux... (Oui je sais je fais ma stefboulayte lol !) En tout cas bienvenue à toi ! | |
| | | indolexou
Messages : 2 Date d'inscription : 05/11/2007
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Mer 7 Nov - 0:45 | |
| - AdorALexSirkiS a écrit:
- alex a écrit:
- Bonsoir je suis la ptit nouvelle,
She night me touche car deja d'une part, c'est l'histoire de stéphane, sa mort . Quand je revoie la video ou nicola pleure, ca me touche forcement. De plus le texte me parle, des phrases comme toi console moi garde moi encore une nuit si tu as envie... trop de souvenirs un dcès d'un proche en particulier Voila C'est pas vraiment l'histoire de la mort de Steph à proprement parler, puisqu'elle a été écrite avant sa mort, mais c'est vrai qu'elle prend tout son sens en ce sens justement, car en plus c'est un de ses derniers morceaux... (Oui je sais je fais ma stefboulayte lol !) En tout cas bienvenue à toi ! tu as raison c'est vrai, merci pour ton pti msg | |
| | | Passion pour Indo
Messages : 109 Date d'inscription : 22/09/2007 Age : 40
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Dim 11 Nov - 12:53 | |
| La chanson Mao Boy parle en toute sincérité de vérités de la vie, que tout n'est pas forcément beau à montrer aux enfants. Quand Nicola dit "la vie est sale, boy", suit une image plutôt jolie du monde ("sous ses étoiles"). Cette phrase exprime magnifiquement la sorte d'oxymore constant qu'est le monde, un paradoxe, un lien toujours très étroit entre ce qui est beau et ce qui est regrettable dans ce monde. On passe vite de la joie à la tristesse, selon ce qu'on décide de regarder, de prendre en compte autour de soi (à un instant donné, on peut décider de contempler un coucher de soleil châtoyant et de se trouver heureux de voir cette beauté, ou on peut voir quelqu'un qui n'a pas de toit pour dormir et regretter cette situation). C'est une question de point de vue, comme on ne peut pas réfléchir sur tout, finalement on choisit ce que l'on veut, ou on choisit après avoir éliminé ce qu'on ne veut pas voir. Dans la chanson, Nicola évoque à plusieurs reprises ce qui ne va pas autour de nous, qu'il n'y a pas d'échapatoir (les dieux..."que tout ça n'existe pas"). Des concepts antithétiques coexistent dans le monde, un peu comme l'amour et la mort, qui est un thème abordé aussi dans d'autres paroles. Cette chanson évoque également le fait de se voir vieillir lorsqu'on devient parent mais qu'on ne peut rien y faire ("c'est un peu mourir"..."on partira au milieu de rien...ainsi soit-il"). Comme je pense peut-être bientôt avoir également des petits bouts, ces paroles me touchent et me font réfléchir sur tous ces concepts. De plus, j'aime sans compter la phrase "et tu seras la suite de ma vie", car dans le contexte de cette chanson, cette image me fait venir les larmes aux yeux. De même, quand Nicola dit avec ses mots si touchants "aussi loin que tu verras un chemin vers moi, tu nous retrouveras". L'enfant peut toujours trouver un soutien chez ses parents, s'il se sent trop perdu dans ce monde. C'est si beau, je ne vois pas de manière de le dire de manière si juste et si émouvante. | |
| | | indoforever
Messages : 548 Date d'inscription : 28/07/2007 Age : 47
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Dim 11 Nov - 12:59 | |
| Merci Passion pour Indo. Ta perception de cette chanson est très touchante et va droit au coeur | |
| | | Passion pour Indo
Messages : 109 Date d'inscription : 22/09/2007 Age : 40
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Lun 12 Nov - 0:25 | |
| C'est gentil, j'ai essayé d'écrire en laissant parler mon coeur | |
| | | indoforever
Messages : 548 Date d'inscription : 28/07/2007 Age : 47
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Lun 12 Nov - 0:36 | |
| - Passion pour Indo a écrit:
- C'est gentil, j'ai essayé d'écrire en laissant parler mon coeur
Et bien je trouve que c'est très réussi | |
| | | Gl@m
Messages : 229 Date d'inscription : 29/08/2007 Age : 37 Localisation : 92
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Lun 12 Nov - 0:59 | |
| La chanson "Coma, coma, coma" me touche beaucoup aussi. Pour moi cette chanson raconte une histoire d'amour un peu frustrante. L'homme aime une femme qui n'a pas l'air de lui montrer ses sentiments. Il lui dit qu'il l'aime, qu'il a peur de ne plus être avec elle. Quand il lui demande de le sortir de ce coma, de ce combat pour elle, pour moi cela veut dire qu'il lui demande de lui montrer ses sentiments, de lui montrer qu'il ne se bat pas tout seul pour la garder, il voudrait qu'elle soit là avec lui, qu'elle l'aime autant que lui peut l'aimer. Il voudrait qu'elle le libère. Cette libération c'est cette peur qu'il a de ne plus la voir, peur qu'elle parte. Si elle l'aime, si elle lui prouve son amour, alors il n'aura plus cette peur, il sera libéré. Dans cette chanson une personne demande à une autre de laisser faire le temps. Cette personne dévoile ses sentiments les plus profonds en espérant que l'autre personne l'entende et qu'elle lui rende ce même amour, aussi fort, aussi intense. Elle voudrait que l'autre personne se batte autant qu'elle pour cet amour, que tout cela ne soit pas à sens unique. Je ne sais pas si mon expliquation est claire, cette chanson je ne l'avais que très peu écoutée jusqu'à il y a peu de temps. En écoutant les paroles ça m'a sautté aux yeux (oui enfin aux oreilles ^^). Cette explication c'est surtout ce que je ressens en ce moment, cette chanson m'a ému, j'ai l'impression que c'est mon histoire qui est chantée par cette voix si mélodieuse... | |
| | | indoforever
Messages : 548 Date d'inscription : 28/07/2007 Age : 47
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Lun 12 Nov - 1:06 | |
| Certaines chansons nous "parlent" plus que d'autres selon les moments de la vie | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Lun 12 Nov - 13:30 | |
| - Gl@m a écrit:
- La chanson "Coma, coma, coma" me touche beaucoup aussi.
Pour moi cette chanson raconte une histoire d'amour un peu frustrante. L'homme aime une femme qui n'a pas l'air de lui montrer ses sentiments. Il lui dit qu'il l'aime, qu'il a peur de ne plus être avec elle. Quand il lui demande de le sortir de ce coma, de ce combat pour elle, pour moi cela veut dire qu'il lui demande de lui montrer ses sentiments, de lui montrer qu'il ne se bat pas tout seul pour la garder, il voudrait qu'elle soit là avec lui, qu'elle l'aime autant que lui peut l'aimer. Il voudrait qu'elle le libère. Cette libération c'est cette peur qu'il a de ne plus la voir, peur qu'elle parte. Si elle l'aime, si elle lui prouve son amour, alors il n'aura plus cette peur, il sera libéré.
Dans cette chanson une personne demande à une autre de laisser faire le temps. Cette personne dévoile ses sentiments les plus profonds en espérant que l'autre personne l'entende et qu'elle lui rende ce même amour, aussi fort, aussi intense. Elle voudrait que l'autre personne se batte autant qu'elle pour cet amour, que tout cela ne soit pas à sens unique.
Je ne sais pas si mon expliquation est claire, cette chanson je ne l'avais que très peu écoutée jusqu'à il y a peu de temps. En écoutant les paroles ça m'a sautté aux yeux (oui enfin aux oreilles ^^). Cette explication c'est surtout ce que je ressens en ce moment, cette chanson m'a ému, j'ai l'impression que c'est mon histoire qui est chantée par cette voix si mélodieuse... J'apprécie ta vision de cette chanson que je vénère! ^^ |
| | | Unita
Messages : 888 Date d'inscription : 29/07/2007 Age : 35 Localisation : Lausanne (CH)
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Jeu 15 Nov - 19:35 | |
| - indoforever a écrit:
- Passion pour Indo a écrit:
- C'est gentil, j'ai essayé d'écrire en laissant parler mon coeur
Et bien je trouve que c'est très réussi Je suis du même avis... très réussi et je partage totalement ta vision de la chanson! | |
| | | Passion pour Indo
Messages : 109 Date d'inscription : 22/09/2007 Age : 40
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Jeu 15 Nov - 19:42 | |
| Merci Unita. C'est une chanson qui me touche vraiment tu sais | |
| | | Unita
Messages : 888 Date d'inscription : 29/07/2007 Age : 35 Localisation : Lausanne (CH)
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Jeu 15 Nov - 21:14 | |
| Mais de rien... moi aussi elle me touche. | |
| | | *anna*
Messages : 7 Date d'inscription : 16/11/2007 Age : 56 Localisation : Dans la Lune ) *
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Sam 17 Nov - 4:04 | |
| Alors, pour ma part, une des chansons dans son dernier album d'Alice & June, C "Talulla". Tout simplement parceque, je suis allée chez mon chéri un soir, et m'attendait une boule de powal, toute noir et blanche... C'était un magnifique cadeau, j'ai commencé à la bercer tout contre mon coeur, et C venu tout seul... je lui ai chanté la chanson Talulla, et elle a fermé les yeux pour s'endormir en ronronnant, toutes deux sous les étoiles... on a hissé les voiles... | |
| | | InDoAleX
Messages : 745 Date d'inscription : 06/08/2007 Age : 37 Localisation : Dans le paradize de Sir Sirkis ! (Anglet-P.A)
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Sam 17 Nov - 23:52 | |
| - *anna* a écrit:
- Alors, pour ma part, une des chansons dans son dernier album d'Alice & June, C "Talulla".
Tout simplement parceque, je suis allée chez mon chéri un soir, et m'attendait une boule de powal, toute noir et blanche... C'était un magnifique cadeau, j'ai commencé à la bercer tout contre mon coeur, et C venu tout seul... je lui ai chanté la chanson Talulla, et elle a fermé les yeux pour s'endormir en ronronnant, toutes deux sous les étoiles... on a hissé les voiles... Ooooooh ! C'est trop tout mimiiii ! [Mode : Veut voir boule de powal :p * mais vais me faire tirer les n'oreilles par Darwin parce que c'est pas du tout le sujet lol*] | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Dim 18 Nov - 0:19 | |
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| | | *anna*
Messages : 7 Date d'inscription : 16/11/2007 Age : 56 Localisation : Dans la Lune ) *
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Dim 18 Nov - 1:56 | |
| Pourvu que je me fasse disputer lol Voici la ptite Talulla | |
| | | Darwin Admin
Messages : 1335 Date d'inscription : 28/07/2007 Age : 35 Localisation : Nyon (Suisse)
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Dim 18 Nov - 1:57 | |
| - AdorALexSirkiS a écrit:
Ooooooh ! C'est trop tout mimiiii ! [Mode : Veut voir boule de powal :p * mais vais me faire tirer les n'oreilles par Darwin parce que c'est pas du tout le sujet lol*] LUI TIRE TRèS FORT LES OREILLES | |
| | | InDoAleX
Messages : 745 Date d'inscription : 06/08/2007 Age : 37 Localisation : Dans le paradize de Sir Sirkis ! (Anglet-P.A)
| | | | Passion pour Indo
Messages : 109 Date d'inscription : 22/09/2007 Age : 40
| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson Lun 19 Nov - 20:21 | |
| J'ai une chatte de 10 ans qui lui ressemble beaucoup, noire et blanche, façon pirate sur le visage. Elle est difficile à bercer, mais il faudrait que j'essaye. Les chats sont des animaux bien, surtout s'ils aiment Indo Bref, je suis HS, mais c'était une parenthèse | |
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| Sujet: Re: (N°4) Un jour,une chanson | |
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